L'Apollonide, souvenirs de la maison close

de Bertrand Bonello 122 minutes 2011

À l'aube du XXème siècle, dans une maison close à Paris, une prostituée a le visage marqué d'une cicatrice qui lui dessine un sourire tragique. Autour de la femme qui rit, la vie des autres filles s’organise, leurs rivalités, leurs craintes, leurs joies, leurs douleurs... Du monde extérieur, on ne sait rien. La maison est close.


Ressources pédagogiques

L'Apollonide, souvenirs de la maison close
Critique
L'âge d'or ambigu des maisons de "tolérance" Des trois huis-clos proposés par la Sélection Officielle cette année, L'Apollonide, souvenirs de la maison close n'est sans doute pas le moins terrible : la réclusion ne procède en effet pas ici de la perversité d'un individu, comme dans Michael ou La Piel que habito, m