
Aborder le nazisme sous l'angle de la satire
Dans sa satire Jojo Rabbit, le cinéaste Taka Waititi se rit de la bêtise et de la haine en mettant en scène un jeune garçon qui, nourri à la propagande du Troisième Reich, s'est inventé un ami imaginaire qui n'est d'autre qu'Adolf Hitler.
Ce dossier pédagogique (PDF, 20 pages) initié par l'Agence Parenthèse Cinéma et rédigé par Philippe Leclercq propose une analyse du film, qu'il replace dans une longue histoire qui va de Molière à Roberto Benigni (La Vie est belle), en passant par Chaplin (Le Dictateur) et Kubrick (Docteur Folamour). Il propose quelques repères historiques et analyse les ressorts de la satire de la propagande nationale-socialiste.